Nous avons la chance de pouvoir participer à l’animation offerte par le Kinépolis de Lomme lors de leurs « Matinées Magiques » spécial Vaiana, le nouveau dessin animé Disney.
Toute la troupe était présente pour faire rêver petits et grands pendant quelques heures et leurs proposer des ateliers de créations manuelles et des prestations de danses. Nos danseuses se sont pliées avec bonheur aux demandes de photos des enfants et ont eu la joie de pouvoir danser devant un public chaleureux. Du bonheur pour toute la troupe.
Un grand merci à Kinépolis Lomme et à Disney pour leur confiance.
aussi appelé ORI TAHITI, la danse polynésienne est une danse pratiquée depuis des siècles. Avec l’arrivée des missionnaires chrétiens, elle fut interdite, car considérée comme impudique, jusqu’en 1950.
Il existe, dans la danse tahitienne d’aujourd’hui, quatre grands types de danse :
Le ‘Ōte’a : à l’origine une danse quelque peu guerrière, réservée aux hommes. Elle est devenue la danse la plus célèbre des danses tahitiennes. Sa chorégraphie est organisée autour d’un thème et sa musique d’accompagnement, exécutée à l’aide de percussions, et est constituée de motifs rythmiques appelés pehe.
Le ‘Aparima : dans cette danse, ce sont les mains des danseurs qui miment l’histoire. Soit le aparima est vāvā (muet) et il s’agit alors d’une pantomime ; soit il est chanté, ‘aparima pehe, et les gestes se rapportent alors à un chant qui est accompagné d’instruments à corde.
Le Hivinau : lors de cette chorégraphie, danseurs et danseuses évoluent en rond et un soliste masculin lance une phrase à laquelle les danseurs répondent. L’orchestre est composé de divers tambours et le rythme est donné par les paroles scandées du soliste.
Le Pā’ō’ā : cette danse semble être l’héritière des gestes de la fabrication du tapa (étoffe fabriquée à partir de certaines plantes). Danseurs et danseuses sont accroupis et en demi-cercle. Un soliste vocal lance un thème auquel répond le chœur. Un couple se lève et exécute dans le cercle une danse brève.
Les autres archipels ont fortement subi l’influence de la danse tahitienne, mais ils ont su préserver certaines de leurs danses : danse de l’oiseau aux Marquises, kapa aux Tuamotu et pe’i aux Gambier.
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